Partition créée pour l'exposition sur le paysage, « quarante-huit pieds, vingt-quatre regards »au CAUE d’Annecy.

 

"Suite à plusieurs marches sur l’ancienne voie ferrée de la ville je me suis donnée la contrainte de ne poser les pieds que sur les traverses pour palier à ma difficulté de marcher sur le chemin de fer. Dès lors, la marche est devenue un rythme entêtant. Je ne regardais plus que mes pieds et adaptais mon pas à chacune des traverses.

Dessiner les traces de la marche sur le papier a donné le rythme de cette partition."

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Présentée sur un mur, la partition révèle un moyen autre de parler d’un paysage, vu et dessiné par des pieds.